L’année 2024 se termine dans un paysage politique international apocalytique. Avec
Poutine à l’est, Trump à l’ouest, et un Parlement européen où prospère l’extrême-droite, faire entendre plus fort la voix de la Paix s’impose.
La Méditerranée orientale est le théâtre d’un bain de sang permanent. La libération des
otages israéliens n’est certainement pas la priorité du gouvernement Netanyahou à qui écraser Gaza ne suffit plus. Sous couvert de s’en prendre au Hamas, l’armée israélienne détruit un peuple et interdit même l’action humanitaire en empêchant l’action de l’Unrwa, agence onusienne chargée des réfugié.e.s palestinien.ne.s.
Un seul front, c’était trop peu pour les appétits meurtriers : c’est vers le Liban qu’un nouveau débouché a été trouvé. La paix est un combat. Nos dirigeant.e.s doivent
trouver le courage de s’opposer à l’escalade meurtrière et nous devons porter au cœur de notre action territoriale la culture de la paix et du respect mutuel, promouvoir un monde pacifique et solidaire.