Pour que cet encart puisse paraître dans le journal Energies, nous devons respecter des délais. Jusqu’à présent, nous remettions notre copie quinze jours avant la parution suivante. Ce laps de temps était déjà suffisamment important pour faire courir un risque d’obsolescence à nos réactions. Or, à la réception du dernier calendrier qu’on nous a envoyé, nous avons eu la surprise de constater qu’il nous faudrait désormais envoyer nos articles un mois avant la parution d’un numéro. Autant dire que si nous souhaitons réagir à un conseil municipal, il y a de grandes chances qu’un autre se soit tenu entre temps. Il sera donc complètement impossible de coller à l’actualité. Nous comprenons mal les raisons qui justifieraient l’allongement de cette durée et considérons que c’est une restriction du droit d’expression de l’opposition municipale.

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