Comme chaque année lors du vote sur les ouvertures dominicales des commerces de l’année suivante, nous le répétons : les bénéfices de ce dispositif ne sont pas significatifs.
Ne soyons pas dupes, le pouvoir d’achat des ménages n’est pas extensible au nombre de jours d’ouverture des commerces et ces ouvertures n’entraînent que très rarement une augmentation du chiffre d’affaire comme l’indique de nombreuses études économiques.
Alors que les salarié.es du commerce vivent déjà une forte précarité, ne nous laissons pas abuser par la notion de « volontariat » dans un monde du travail ou les employé.es sont en permanence mis.es en concurrence les uns avec les autres.
Le travail dominical entraînent de lourdes conséquences sur l’équilibre familial ainsi que sur la santé physique et sociales des salarié.es.
Aucune raison économique et sociale ne peut justifier une augmentation du nombre de ces dimanche au-delà de cinq.
Pour le collectif citoyen Gardanne Biver le repos dominical est et doit rester un repère collectif dans la société.