Il aura fallu deux terribles événements, l’épidémie de COVID et la guerre en Ukraine pour que le président Macron réalise ce que nous défendons depuis longtemps : lorsqu’on externalise la production, on se rend dépendant des autres et on n’est pas forcément les premiers servis en cas de besoin… Le voilà donc qui vante maintenant la réindustrialisation du pays. A Gardanne, cela tombe bien, nous avons des projets industriels à valoriser. A la centrale, une réunion tripartite a enfin donné lieu à des engagements écrits de la part de l’État et de GazelEnergie. Les promesses de réembauches et de formation des salarié.es doivent être maintenant traduites en actes. Il faudra également veiller à la santé d’Altéo dont l’activité pourrait être menacée par le contexte international. Nous devons poursuivre le combat pour la vitalité de nos industries.